Il y a un peu mois d'un mois, j'écrivais un post sur le deuxième opus de Beirut, "The Flying Club Cup". Hier soir, j'étais l'invité de Mr Scratchy. En guise de souvenir de cette soirée arrosée, j'ai pu emprunter le tout premier album du talentueux Zach Condon, "Gulag Orkestar".
On tombe dans le monde onirique d'un Emir Kusturica avec une voix malléable tel un Malabar provenant d'une Europe de l'est d'un siècle ancien et si poétique.
J'aime beaucoup ce son qui est fait d'un foutoir sonore mais d'où se dégage une chaleur humaine incomparable.
Alors si vous êtes, comme moi, en prise avec un monde cybernétique qui manque cruellement d'indulgence face à un petit homme qui s'évertue à déverser sa passion par les voies impénétrables d'un langage trop complexe pour être assimilé en une matinée, cet album est fait pour vous...
Beirut : Gulag Orkestar
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire